Trois pédophiles ont violé et tué un garçon de 10 ans Au Yémen. Ils ont écopé de la peine capitale. On les a fusillés et pendus à une grue devant une foule.
Ces photos sont bien choquantes. Elles présentent trois hommes portant des uniformes bleus devant une foule dans la ville de Sana.
Les policiers ont menotté les trois hommes et leur ont demandé de s’allonger face contre terre. Ensuite, ils leur ont tiré 5 balles dans le cœur chacun.
Ensuite, les corps des trois hommes ont été suspendus dans les airs, à une grue, afin que tout le monde les voie bien. Les autorités espèrent que ces trois cadavres dissuaderont toute personne qui penserait à commettre un acte de ce genre.
La peine de mort est encore en vigueur et le pays vit toujours avec la Charia
Le Yémen se trouve au sud de l’Arabie Saoudite. Dans ce secteur, les crimes de l’ordre des meurtres, des viols et du terrorisme se soldent par une exécution.
Aussi, au Yémen, la Charia est source de plusieurs exécutions. Elle condamne l’adultère, les inconduites sexuelles, la sodomie, la prostitution et les blasphèmes. Le code pénal du pays prévoit que les individus qui transgressent ce système de loi islamique s’exposent à des châtiments allant de la lapidation à la pendaison.
Dans le monde, la peine de mort est encore en vigueur dans environ 50 pays. Seuls les États-Unis pratiquent encore la peine capitale parmi les pays du G7.
En Arabie Saoudite, un homme a été exécuté par crucifixion après avoir poignardé mortellement une femme. Cela s’est produit il y a quelques jours seulement.
L’homme originaire de Myanmar a été décapité, puis son corps a été crucifié
Le pape François a publiquement dit qu’il était contre la peine de mort au début du mois d’août. Le pape a même demandé à ce que l’Église abolisse la peine de mort « partout dans le monde ».
Le catéchisme de l’Église catholique de 1992 était favorable à la peine de mort dans certains cas extrêmes.
Sachez aussi que le pape François a toujours désapprouvé la peine de mort depuis plusieurs décennies déjà.
Il affirme : « L’exécution d’un criminel ne rend pas justice aux victimes, mais attise la vengeance ».
En 1999, Jean Paul II avait essayé de convaincre les États-Unis à abolir la peine de mort.