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Un Policier Meurt En Plein Ébats Avec Son Amante Dans Son Bureau

Il est monté au septième ciel pour rencontrer le Père Créateur !

Un policier est décédé, pendant qu’il tenait des relations sexuelles dans son bureau.

Selon le News Telegraph, Sunday Eguakhide, commissaire de la police âgé de 56 ans, est décédé le 24 août vers 11h30 dans son bureau de l’École de police d’Ikeja. Il était avec sa seconde femme, qu’il a épousée officieusement, dans son bureau lorsqu’il est décédé. Le couple tenait des faisait l’amour.

Le décès d’Eguakhide est survenu moins d’une semaine avant sa retraite. On a déposé son corps à la morgue de l’hôpital général d’Ikeja.

On a dit que le défunt était friand de médicaments pour améliorer ses performances sexuelles. Il en avait pris lorsqu’il voulait faire l’amour avec sa 2e femme. Des policiers de la division d’Ikeja ont arrêté la femme et l’ont placée en détention depuis lors.

Mais la femme a dit ne rien savoir de la cause de la mort d’Eguakhide.

Elle a dit :

Il avait l’habitude d’avoir de faire l’amour avec moi dans son bureau. Il avait déjà fait un tour, mais comme d’habitude, il n’était pas satisfait. En fait, je lui ai dit que le médicament qu’il prenait chaque fois que nous voulions avoir un rapport n’était pas bon pour mon corps. Je n’aimais pas ça, parce que c’était moi qui en portais le poids.

Quand il prenait le médicament, il me faisait l’amour pendant très longtemps et, à cause de la drogue, il tarde généralement à jouir.

En ce jour fatidique, après son premier tour, il a refusé de me laisser m’habiller. Il a commencé à jouer avec moi jusqu’à ce que soit à nouveau en érection. Il a ensuite commencé à faire l’amour avec moi à nouveau.

Elle a dit qu’à un moment donné pendant l’acte, l’homme a commencé à agir de façon amusante. Il se roulait sur elle, puis est tombé sur le sol et tremblait. Il moussait à la bouche et sa langue était sortie. En panique, elle criait son nom, mais vu qu’il ne répondait pas, elle est sortie du bureau presque nue pour demander de l’aide. Quand d’autres personnes sont venues, il était déjà trop tard.

Mais l’un des collègues du défunt a nié l’allégation selon laquelle Eguakhide est mort à la suite d’une consommation de drogue. Il a dit :

J’ai travaillé étroitement avec lui au département des transports lorsque j’ai remarqué qu’il souffrait d’hypertension artérielle. Cette femme est sa deuxième femme. Il l’a épousée hors mariage. Chaque fois qu’elle voulait voir le mari, elle venait toujours au bureau.

Je ne sais pas s’ils couchaient ensemble au bureau. Par contre, je sais que la femme vient généralement au bureau pour prendre de l’argent pour l’entretien de ses enfants.

C’était une personne généreuse. Notre supérieur conseille toujours chaque officier de l’école de police de bien prendre soin de sa santé. C’est l’officier subalterne qui l’a emmené à l’hôpital, mais il a rendu l’âme avant leur arrivée à l’hôpital général d’Ikeja. Il va me manquer, car il n’a jamais eu de la rancune envers personne.

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