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La Femme Dont La Sex-Tape Avec Un Pasteur A Fuité, Révèle Tout

Voici toute la vérité au sujet de cette affaire de sexe tape !

La femme dont la sex-tape avec le pasteur Chris Omatsola a fuité, a finalement décidé de parler et elle a révélé des détails choquants.

Selon la femme de la vidéo connue sous le nom de Princess Tamaratokoni Okpewho, c’est l’apôtre Chris Omatsola, pasteur principal de Zionwealth Of Life Assembly à Lekki, de Lagos, qui a lui-même publié la vidéo pour la punir d’avoir mis fin à leur relation. Ce n’est pas un réparateur d’ordinateurs et portables qui a publié la vidéo comme il l’avait révélé lorsque la vidéo est devenue virale il y a quelques semaines.

Princess Tamaratokoni a déclaré que son ex-fiancé, l’apôtre Omatsola était violent physiquement et émotionnellement. Surtout, il était manipulateur, selon elle. Elle a partagé des photos de la blessure qu’il lui avait infligée et a déclaré que contrairement à ce qu’il prétendait, la sex-tape ne date pas de longtemps, quand le pasteur « était toujours dans le monde », mais elle date de cette année alors qu’ils étaient en couple.

L’apôtre Omatsola a également parlé de la fuite de la bande dans une vidéo que vous pouvez voir ci-dessous.

Princess Tamaratokoni a écrit :

J’ai rencontré l’apôtre Chris Kevwe Omatsola, un auteur, fondateur et pasteur président de Zionwealth of Life Assembly (Zola) à Lekki, Lagos. Nous avons ensuite commencé à nous fréquenter en février 2018. Cela a rapidement débouché sur une relation sexuelle. Lorsque nous avons couché pour la première fois, il m’a dit qu’il était humain d’avoir de tels sentiments. Et ce, malgré le fait qu’il était un pasteur et parce qu’il était follement amoureux de moi. Nous devions donc arranger la situation en nous mariant. J’étais amoureuse et j’étais prête à faire n’importe quoi pour lui. Nous avons continué notre histoire d’amour. Puis nous avons enregistré des vidéos et pris des photos de notre intimité.

J’ai informé ma mère qu’un gars venait pour m’épouser et elle m’a dit qu’elle allait prier pour ça. Tout était rose jusqu’à ce qu’il devienne violent et me batte constamment. Un jour, j’ai saigné (j’ai des photos de mes bleus). Après chaque épisode de violence, il venait demander pardon. Je lui pardonnais, parce que je pensais être amoureuse. Le cercle vicieux a continué (il me battait, revenait demander pardon et je l’acceptais).

Avance rapide jusqu’à la fin du mois de juillet ! Ma mère ne m’a donné aucune suite concernant la présentation de mon futur époux. Je commençais aussi à moins m’investir dans la relation à mesure que la violence augmentait. Il était très capricieux et nous avons eu une série d’altercations qui ont finalement dégénéré en coups. En août, j’ai rompu la relation et j’ai été surprise qu’il l’accepte de bonne foi, compte tenu de son penchant pour la violence. Nous avons accepté de rester amis, mais il ne voulait tout simplement pas tourner la page : il pleurait, demandait pardon et s’agenouillait devant moi à plusieurs reprises.

Au mois d’août, il a demandé que nous nous rencontrions pour discuter en toute amitié. Au cours de la rencontre, il est devenu vraiment agressif après avoir réalisé que j’étais partie et que je ne voulais plus revenir avec lui. Il a également refusé de me déposer à la maison. Il m’a battue, a saisi mon téléphone, m’a forcée à le déverrouiller et en a récupéré de nombreux contacts, uniquement pour savoir qui je voyais. C’était la goutte d’eau de trop pour moi. Alors je ne l’ai jamais revu jusqu’en septembre. Puis, il s’est présenté chez moi, pleurant et me suppliant. J’ai refusé de tomber dans le piège cette fois-ci et il n’y a plus eu de communication entre nous avant le début du mois d’octobre. Là, il s’est de nouveau excusé pour tout ce qu’il avait fait.

Le 13 octobre, il m’a contactée avec un numéro anonyme via WhatsApp. Il m’a envoyé des images, des vidéos et des messages de menace. Il disait que si je ne lui revenais pas, il allait tout publier. Je l’ai supplié et j’ai également appelé toutes les personnes que je connaissais pour m’aider pour le supplier. Un ami de la famille l’a appelé et il a promis de ne pas les publier. Il a dit qu’il était juste en colère contre moi, il essayait d’attirer mon attention et espérait me reconquérir. J’étais calme après avoir entendu cela vers midi ce jour-là.

Étonnamment, vers 19 heures, le même jour, j’ai commencé à recevoir des appels de tous mes contacts à propos d’images et vidéos de moi « nue » qui circulaient sur Internet. Un numéro étrange me les a également envoyées via WhatsApp. Mes amis, ma famille et tous les membres de ma liste de contacts (rappelons qu’il a utilisé la force pour prendre les contacts chez moi en août). Il les a même envoyées à l’ami de la famille qui l’avait appelé plus tôt pour lui demander pardon.

On l’a retrouvé le lendemain et il n’a pas nié avoir publié les photos et les vidéos (il existe un enregistrement à cet effet). Il a révélé qu’il avait activé WhatsApp sur le numéro d’une ancienne petite amie pour envoyer les photos et les vidéos à mes contacts et au groupe WhatsApp de son église. Elles sont devenues virales en quelques minutes. Avant son arrestation, un homme mécontent l’a contacté pour lui demander pourquoi il les avait finalement publiées après avoir promis de ne pas le faire. Il a dit que maintenant que mes images et mes vidéos étaient diffusées, plus aucun homme ne voudrait croiser de nouveau ma route. Il a dit qu’il était préférable que nous nous mariions et informions le monde que nous sommes un couple et que c’est notre affaire.

Après l’arrestation, en présence de son père, il a de nouveau avoué avoir lui-même publié les images et les vidéos. Puis il a admis qu’il avait tort d’avoir fait ça. Il s’est excusé auprès de moi, de ma famille, de sa famille et du grand public. Ceci a été enregistré le 19 octobre 2018 et je suis en possession de cette vidéo. Il a même accepté de payer des dommages et intérêts. Nous avons accepté ses excuses et nous pensions que cette histoire faisait partie du passé.

Nous nous sommes réveillés dimanche matin (28 octobre 2018) pour découvrir pour faire une horrible découverte. Il avait déjà publié une autre vidéo, rétracté ses excuses précédentes et affirmé que l’enregistrement datait de la période où il était un non-croyant dans le monde. Il a même versé des larmes de crocodile pendant l’enregistrement pour se faire passer pour la victime. Chris et moi avons commencé à sortir ensemble en février 2018 et l’enregistrement des images date de pendant la relation (février 2018 – août 2018). Il y a actuellement des articles de son blog sur Internet datant du 16 décembre 2014 (http://zolanigeria.blogspot.com/…/zola-raising-zolite-army.…) qui prouvent que l’église existe depuis un certain temps. Alors, comment aurions-nous pu enregistrer les vidéos quand il était « dans le monde » ? Nous nous sommes rencontrés et avons commencé à sortir en février de cette année. Il était pasteur bien avant notre rencontre ! Quand était-il exactement « dans le monde » ?

J’ai eu tort de coucher avec un pasteur avant le mariage. J’ai eu tort de lui avoir permis de me persuader d’enregistrer nos moments intimes. Et j’ai eu tort de continuer à sortir avec un homme violent. Je passe des nuits blanches à réfléchir aux conséquences de tout ce que j’ai fait et à me demander comment surmonter cette épreuve. Comment aller de l’avant ? Ma famille et mes amis me voient différemment. Beaucoup de gens me regardent et chuchotent quand ils me voient passer. J’ai répondu aux questions de mes collègues. J’espère que cela passera bientôt.

L’apôtre Chris Kevwe Omatsola est un menteur avec un esprit revanchard, sans scrupule et un psychopathe qui n’arrêtera pas tant qu’il ne me détruira pas. En fait, je n’ai aucune idée de ce qu’il veut de moi. Mon seul péché est d’avoir refusé de continuer à être maltraitée physiquement, verbalement et émotionnellement. J’ai péché en arrêtant notre relation « violente ». J’ai déménagé quand il a commencé à me harceler et il a quand même réussi à localiser mon nouvel appartement. J’ai renoncé à l’anonymat et suis sortie pour réfuter tous ses mensonges. Je crains pour ma vie et celle de ma famille et de mes amis qui me soutiennent. Je me sens impuissante et vulnérable et je ne sais pas quel sera son prochain acte.

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