Le gouvernement ivoirien et Guillaume Soro se sont engagés dans une lutte qui risque de durer encore longtemps. En effet, il y a récemment eu des menaces contre le président de l’Assemblée nationale ivoirienne. On menace de l’éjecter de son poste et il y a eu le retrait de plusieurs éléments de sa garde rapprochée.
Le pouvoir d’Abidjan isole M Soro !
La tension monte entre Guillaume Soro et l’exécutif ivoirien. Tout le monde le sait très bien. En fait, le président de l’Assemblée nationale n’est plus en de très bons termes avec ses collègues du RDR, le parti au pouvoir. Le PCO du Congrès constitutif du RHDP unifié, Adama Bictogo a ainsi demandé à Soro Guillaume de rendre sa démission de la présidence du Parlement. Ceci, dans le cas où il ne voudrait pas rejoindre le Parti unifié.
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Au lendemain de cette menace, Guillaume Soro a rendu une visite privée au président Alassane Ouattara à son domicile. Lors de cet entretien, Guillaume Kigbafori Soro aurait informé le président de sa décision de quitter la tête du Parlement, selon la Lettre du Continent. Mais les proches de M. Soro ont tôt fait de démentir cette information.
Néanmoins, fin décembre, nous avons appris que 11 agents de la garde rapprochée de Guillaume Soro ont été envoyés en formation. Néanmoins, leurs postes restent toujours vacants. Le conseiller en communication de M. Soro a confirmé l’information. « Effectivement, des membres de sa garde rapprochée ont été rappelés. Depuis 2014, on a assisté à une réduction progressive des éléments de la garde rapprochée ».
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Ces éléments sont très clairs et prouvent que Guillaume Soro, et l’exécutif ivoirien sont en passe de se quitter définitivement. Rappelons que M. Soro est le vice-président du RDR chargé de la région du Tchologo.
